Les patients reçus en consultation sont aujourd’hui sont de plus en plus sensibles aux différentes techniques ostéopathiques, mais l’ostéopathie crânienne leur laissent encore beaucoup de questionnements.
L’ostéopathie crânienne fut découverte aux USA au début du XX siècle par W.G Sutherland, étudiant direct du fondateur de l’ostéopathie A.T. Still. Les ostéopathes d’aujourd’hui s’appuient principalement sur les travaux de
recherches de H.I Magoun et de Viola Fryman.
L’ostéopathie crânienne est sujette à controverse, elle est souvent mal perçue par le monde médical. Les non médecins n’étant pas autorisés à faire de la recherche médicale depuis la loi Huriet, il nous est impossible de prouver selon les normes en vigueur la véracité de nos propos. L’efficacité perçue des techniques ostéopathiques crâniennes est donc basée sur l’expérience.
Nos détracteurs nous reprochent aussi qu’une partie de notre concept s’appuyant sur la mobilité des os du crâne les uns par rapport aux autres, grâce aux cinq paramètres du « cranial rythmic impulse » serait incorrect. Cependant, tous les spécialistes s’accordent à dire, expérimentation à l’appui, que l’os en général est une matière dure mais avec une certaine plasticité. Il se modèle donc en fonction des forces auquel il est soumis.L’ostéopathie crânienne permet donc de diminuer les tensions participant à la modélisation de l’os